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 Le vrai Jésus & les sources cachées du christianisme

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Derwydd

Derwydd



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MessageSujet: Le vrai Jésus & les sources cachées du christianisme   Le vrai Jésus & les sources cachées du christianisme I_icon_minitimeSam 24 Déc 2011 - 7:55

Source : Les dossiers des grands mystères de l'histoire ( Le vrai Jésus & les sources cachées du christianisme ).

Durant très longtemps, les saintes écritures ont été acceptées dans leur intégralité par l’ensemble des chrétiens. Malgré les contradictions, les absurdités, les anachronismes, les nombreux mensonges de la bible, saint Thomas d’Aquin déclara en son temps que « s’il se trouvait une seule erreur inscrite dans le « livre de Dieu « toute la révélation s’écroulait ».
Et ce n’est malheureusement pas une SEUL ERREUR que nos sommes confrontés mais à des centaines de dysfonctionnements qui furent épinglés tout au long des siècles écoulés. Galilée comme tant d’autres ne fut-il pas condamné pour avoir soutenu une théorie anti-biblique, à savoir que la terre n’était pas le centre du monde ?
L’église a toujours demandé à ses fidèles de ses soumettre aveuglément aux livres saints et à toutes les interprétations qu’elle décidait de leur donner du haut de son inflexible autorité. Durant les siècles, l’église catholique a interdit la lecture de la bible, de crainte que le lecteur, mis en présence des contradictions et des niaiseries contenues dans certains passages, ne les interprète à sa façon ou ne comprenne le sens profond du message qui y était véhiculé.

Elle voulait à tout prix rester maitresse du » jeu «, garder le contrôle sur une populace ignorante à travers la puissance de son clergé. Un très –haut glorifié qui prescrit la mort d’enfants innocents, de femmes insoumises, de vieillards récalcitrants, la lapidation des mécréants, le massacre des incrédules ; une déité omnipotente qui prône la guerre, l’intolérance, le despotisme…..lorsqu’on lit la bible, on est en droit de se poser des questions légitimes sur la bonté présumée du créateur, des interrogations qui deviennent bien dérangeantes pour l’autorité ecclésiastique. C’est pourquoi des pénalités très sévères, allant jusqu’à la peine de mort, furent appliquées à ceux qui contrevenaient à cette défense, et même à ceux qui possédaient des exemplaires de la bible non estampillés ou annotés par l’église.

De nombreux tyrans se sont servis de la bible pour appuyer leur autorité. Pour brûler des sorcières, on a aussi invoqué les textes saints. Pour instaurer l’inquisition, et exterminer les hérétiques, l’église s’est appuyée sur l’autorité divine des écritures. Même remarque pour les missions d’évangélisation des peuples dits primitif, pour la légitimation des croisades …..La longue histoire chaotique du monothéisme a vu l’émergence de bien des faits condamnables commis au nom d’un Dieu unique.
Lorsque Jésus meurt, il n’y a ni doctrine chrétienne ni église. Jésus a-t-il jamais souhaité une église ? Rien n’est moins sûr. Des disciples et surtout des arrières disciples firent collection des propos du Maître et en composèrent des recueils qui devinrent les évangiles.
Les disciples directs ne formèrent pas une église mais une véritable communauté sans chef hiérarchique, réunis ensemble dans la même communion de pensée. De son côté, Saul mieux connu sous le nom de Paul donna naissance au mythe du Christ sauveur, non plus d’un seul peuple élu, mais à tous les hommes. Paul, très autoritaire et peu conciliant, suivit seul sa carrière , renié, excommunié par la petite confrérie judaïsante. Il fut le véritable propagateur de la doctrine. Ce sont tous les aspects cachés du Christianisme et ses origines perdues.


En ce qui concerne la place du personnage central incarné par l’image de Jésus –christ, elle est fortement inspirée, comme c’est le cas dans les trois grandes croyances – le Bouddhisme, le Christianisme et l’Islam de l’existence historique d’un instructeur qui aurait vécu sur la terre. Alors que Gautama, dit Bouddha, est bien connu et que Mahomet est sans mystère pour les historiens, dès que l’on arrive à Jésus-Christ, on se perd dans un épais nuage de fables, de légendes, d’affirmations dépourvus de tout fondement historique. Mythe historique ou réalité ?
Tel est le vrai problème que de nombreux chercheurs tentent depuis des siècles de résoudre. Et pour comprendre objectivement certains détails des évangiles (on entend par ce mot les quatre biographies légendaires de Jésus-Christ parues vers l’an 200 de l’ère chrétienne sous les noms de Luc, Marc, Matthieu et Jean) il faut se remémorer les conditions historique dans lesquelles se débattait la Palestine au début de l’empire Romain. Ces conditions nous donneront la clé du mystère chrétien.


Le cadre historique

Le roi de Palestine, Hérode dit le grand, était maudit de toute la population. Dépossédé de son siège par les autorités religieuses de Jérusalem, il ne put rentrer en sa capitale que grâce à l’appui d’une puissance étrangère, les Romains.
Il sut obtenir l’aide d’Antoine qui, lors des dernières années de la république, le nomma roi des Juifs et le couronna comme tel au Capitole, en 39.
Aidé de deux légions romaines, ce monarque exécré n’hésita pas à débarquer en Palestine, sous la protection des armes ennemis. Il s’empara de la ville sainte, en 37 avant l’ère chrétienne, massacra un grand nombre de patriotes et asservit à sa domination la Palestine. De peur d’être chassé à nouveau par son peuple, il obtint de Rome que des garnisons romaines et des fonctionnaires civils romains soient placés en permanence dans les centres importants du pays, notamment à Jérusalem.
Sa servilité envers la puissance occupante exaspéra les Palestiniens et un mouvement de résistance s’organisa contre lui pour le chasser de ses états avec ses protecteurs étrangers. Plusieurs complots furent déjoués par ces derniers. L’organisation de cette résistance fut loin d’être négligeable.
Les Romains n’occupant que les centres importants, les patriotes palestiniens avaient toutes les facilités pour se réunir dans les campagnes et les déserts. C’est donc tout naturellement sur les bords du lac du Jourdain et du lac Tibériade qu’ils haranguaient les foules et préparaient leurs projets de libération du territoire et d’expulsion des occupants et leurs collaborateurs.
Trois complots successifs furent préparés et mis à exécution. Un premier fut organisé par un dénommé Juda de Galilée qui leva des volontaires dans les campagnes, les arma et marcha sur Jérusalem. Il fut écrasé, fait prisonnier et exécuté. (Flavius Josephe, Chap.XVIII,1 etXX,I) . Un second complot fut préparé par un personnage nommé Iokohannan , que les Romains appelaient Jean-Baptiste. Il rassembla les troupes dispersées de Jude de Galilée, les regroupa sur les bords du désert où il se retirait avec elles à la moindre alerte. Au lieu de se borner à lever des troupes, il employa les armes psychologiques pour préparer la « révolution nationale ». Il se déclara prophète, inspiré par Dieu. Il donna de nombreux meetings où il dénonça la collusion d’Hérode avec les Romains, stigmatisant les débauches des amis d’Hérode et la corruption de sa cour. Il lança régulièrement des anathèmes et autres malédictions contre les collaborateurs et n’hésita pas à annoncer la venue du règne d’un vengeur, le roi des juifs dont il serait l’annonciateur. Mais grisé par ses succès auprès de gens simples, il eut l’imprudence de se rapprocher de la citadelle d’Hérode, où il tomba dans une embuscade. Il fut fait prisonnier et immédiatement décapité (Flavius Josephe XVIII,2).
C’est alors qu’un troisième personnage apparaît, sous la forme d’un jeune patriote qui se mit à la tête des hommes de Iokohannan lorsque celui-ci fut arrêté et exécuté. Il recrutait surtout ses adeptes parmi les misérables pêcheurs de poissons qui logeaient au bord du lac ou dans des pauvres barques. A la moindre alerte, ils quittaient une rive pour l’autre et les meetings pouvaient se dérouler sans accroc, loin des occupants étrangers qui n’avaient aucun poste militaire en ces régions lointaines.

Prophète sans armes, Ieoschouah (forme hébraïque de Jésus) voulut triompher des romains par la seule arme d la foi. C’est ainsi qu’il parcourait le pays annonçant la libération d’Israël et le rétablissement d’un royaume juif après l’expulsion des occupants romains, et le châtiment de leurs alliés et collaborateurs.
Hérode fut rapidement mis au courant de ce troisième complot et les écrits des évangéliques eux-mêmes rapportent qu’il entra en fureur contre Jésus et voulut le faire mourir (Luc XIII ,31) à cause de sa propagande révolutionnaire menée contre lui. Jésus crût malgré tout le moment favorable à un coup d’Etat et, lors de la Pâque, il eut l’imprudence de donner rendez-vous à Jérusalem à ses hommes pour y donner le signal de la révolution nationale. Trahi par l’un de ses meilleurs confidents, Judas Iscariote, il fut facilement appréhendé, mis en jugement et exécuté.


Le complot " politique " de Jésus

Les évangiles, malgré leur composition tardive et leur caractère légendaire, nous apportent de nombreux éléments intéressants, établissant que le disciple de Jean-Baptiste avait bien en vue la conquête du pouvoir politique en Judée puis dans toute la Palestine, après l’expulsion des occupants et des traître. Voici quelques preuves suggestives de la réalité des ambitions politiques du réformateur : C’est uniquement comme « Roi des juifs » et, par conséquent comme rebelle à Hérode et conspirateur contre Rome que Jésus fut envoyé à la mort par Pilate.
Ce n’est nullement comme réformateur religieux car les Romains professaient la plus large tolérance en matière de religions. Tous les cultes se côtoyaient à Rome et dans l’empire. Le caractère politique de son activité et de sa mort est attesté formellement par l’inscription, mise sur sa croix par les autorités judiciaires I.N.R.I., « Jésus Nazarenus Rex Iudeorum », Jésus de Nazareth, roi des juifs. L’évangile de Mathieu dit d’ailleurs sans ombrages que l’inscription sur la croix fut imposé par Pilate « pour indiquer le motif de sa condamnation » (Mathieu, XXVII, 37).
« Ses disciples avaient si bien compris que leur maître allait fonder un royaume juif autonome qu’ils se disputaient souvent pour savoir lequel d’entre eux serait le plus élevé en grade et en dignité dans son ministère « (Luc, IX, 30)0. « Ils avaient discuté entre –eux pour savoir lequel serait le plus grand » (Marc, X ,35-37 ; IX, 34/ Luc XXII, 24) .Ils avaient même mobilisé les femmes pour obtenir du maître un avancement politique avantageux (cfr. La requête ambitieuse des fils de Zébédée dans Mathieu : XX, 20-28) et le Christ leur avait promis d’en faire les douze gouverneurs des XII provinces (tribus) du royaume d’Israël (Luc, XXII, 30).

à suivre.....


Dernière édition par Derwydd le Mer 11 Avr 2012 - 8:07, édité 1 fois
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Galdar

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MessageSujet: Re: Le vrai Jésus & les sources cachées du christianisme   Le vrai Jésus & les sources cachées du christianisme I_icon_minitimeLun 26 Déc 2011 - 18:05

Salutations à toi, Derwydd,

Analyse très intéressante qui rejoint l'enquête du non moins intéressant livre de Baigent, Leigh et Lincoln "Le Message".

Il est à noter aussi que le dogme chrétien en tant que tel naquit au suffrage du premier concile de Nicée en 325 sous la férule de l'empereur Constantin 1er; Le caractère de filiation divine de Jésus fut même placée en vote.

Le premier massacre conséquent fut perpétré à l'égard des partisans de l'Arianisme qui considérait que Jésus était tout simplement humain, contrevenant de ce fait au vote majoritaire.

Si l'on considère l'Histoire, passée et actuelle du monde, force est de constater le caractère dictatorial du monothéisme, au contraire du polythéisme, bien plus tolérant;

Merci à toi, Derwydd, j'ai hâte de lire la suite Wink


Dernière édition par Galdar le Ven 30 Déc 2011 - 4:13, édité 1 fois
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Derwydd

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MessageSujet: Re: Le vrai Jésus & les sources cachées du christianisme   Le vrai Jésus & les sources cachées du christianisme I_icon_minitimeJeu 29 Déc 2011 - 8:25

Salut Galdar. Comme convenue, voici la suite et la fin de l'histoire.

Jésus répétait à satiété qu’il venait pour les « les brebis perdues de la maison d’Israël », c'est-à-dire pour les Juifs subissant l’occupation étrangère (Mathieu, XV, 24), car « on ne donne pas le pain de la maison aux chiens » (Marc, VII, 27). Il l’affirme à la Samaritaine (Jean, IV, 22). « C’est le libérateur de la patrie que l’on attend en Israël, il sera ce messie impatiemment attendu » (Marc, VIII, 29 : Luc, IX, 20 : Mathieu, XVI ,16). Ses disciples le lui répètent à tout moment. Et pour fonder le nouveau royaume des 12 tribus d’Israël, il a spécialement choisi 12 disciples nos apprend Luc, VI, 13. Le programme du « révolutionnaire » national est clair. Il ne vient pas pour les païens qui ne l’intéressent pas car ils étaient sans rapport avec une révolution locale, purement nationale. Seuls les Juifs l’intéressaient : « N’allez pas vers les païens a –t’il dit à ses troupes, allez plutôt vers les brebis perdues de la maison d’Israël ». (Idem) Aucun doute qu’il s’agit bien d’une révolution véritable matérielle d’un changement d régime politique, dans le programme de Jésus. Ne dit-il pas : « Ne croyez surtout pas que je sois venu apporter la paix ici-bas, c’est l’épée que j’apporte » (Mathieu, X, 34). Son plan est tellement bien compris de ses adversaires qu’ils l’ont de suite dépisté et que tous les collaborateurs ont tremblé. Ils se sont émus. Ils ont décidé de faire arrêter et de châtier les révolutionnaires. Ils ont averti le conspirateur qui a annoncé à ses troupes ce qui les attendait.
Les ennemis implacables du réformateur étaient les prêtres collaborateurs. 3 Vous serez livrés aux tribunaux : (Juifs) et battus de verges dans les synagogues », dit le Christ à ses disciples (Mathieu, X, 17) et aussi leurs protecteurs païens, les occupants romains : « Et vous serez conduits devants les païens » (Idem, X, 18). Les collaborateurs comprirent le danger de son complot car ils affirmaient clairement : « Si nous le laissons faire, tous croiront en lui et les Romains se fâcheront et ils détruiront notre ville et ils ruineront notre nation » (Jean, XI, 48).
Aussi, fallait-il à Jésus, non des agneaux mais des partisans fanatiques qu’aucun lien sentimental et qu’aucune timidité ne pourrait retenir : « Je suis venu mettre la division dans les familles, dit le chef celui qui me préfère ses parents ou son fils n’est pas digne de moi » (Mathieu, X, 35-37). « Si quelqu’un vient à moi et qu’il ne hait pas son père, sa mère, sa femme, ses enfants, ses frères et sœurs, et même sa propre vie, il ne peut être mon partisan » (Luc, XIV, 26).

Il y a danger de mort dans cette lutte, il ne l’a pas caché. Il promet des récompenses à ses soldats : « Quiconque donnera seulement un verre d’eau à un de ces petits qui est dans mon parti, je vous le dis, en vérité, il aura sa récompense » (Mathieu, X, 42). En revanche, il reprend pour son compte les injures, les anathèmes, les malédictions, les prophéties horribles de son maitre Jean-Baptiste et il en abreuve ses adversaires : « Serpents, races de Vipères » (Mathieu, XXIII, 32) « Vous vous massacrerez, crucifierez, flagellerez les uns les autres » (Idem, XXI, 34). « Tout sera démoli ici, il n’en restera pas pierre sur pierre » (Luc, XXI, 6). « Il y aura des guerres, des révolutions, des tremblements de terre, des pestes, des famines, des signes dans le ciel » (Luc, XXI9-17 & 25). « Jérusalem sera assiégé et détruite » (Luc, XXI, 20 & 24).
Ce programme politique est net : « Seigneur, est –ce maintenant que tu vas rétablir le royaume d’Israël ?( Actes, 1,6) »Nous espérions , disent les disciples d’Emmaüs, que ce serait lui qui délivrerait Israël » (Luc, XXIV, 21). Aussi le jour où, quittant l’asile sûr des campagnes ou du lac, il aura l’imprudence de se risquer en pleine capitale, d’y organiser un cortège et de se faire repérer, surveiller, puis arrêter et exécuter, ses disciples commenceront par se disperser, par le trahir et l’abandonner. Ce n’est que peu à peu qu’ils se retrouveront et se réuniront en cachette. On ne les inquiètera d’ailleurs nullement, sauf le jour où ils auront envie de recommencer le complot pour leur et où ils causeront des troubles à l’intérieur du temple. On se bornera à les flageller puis on les remettra en liberté (Actes, V, 40) : « Ils étaient si peu propagandistes d’un culte nouveau qu’ils allaient comme leur chef d’ailleurs chaque jour sacrifier au temple dont ils étaient les fidèles assidus » (Actes, II, 46).
Le premier mouvement Chrétien n’avait donc rien d’une religion. C’était un mouvement purement politique, Juif, national, une résistance contre l’occupant et les collaborateurs de l’époque. Il ne comportait pas d’autres rites que ceux des Juifs ordinaires, pas de temple séparé, pas de culte à Yahvé(Jéhovah) distinct.
C’était un mouvement de révolte patriotique, sous une forme prophétique, par meetings mêlant l’injure, la menace et la prophétie.

Fin de l’histoire .

Blessed Be ! sunny


Dernière édition par Derwydd le Mer 18 Avr 2012 - 17:58, édité 1 fois
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Galdar

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MessageSujet: Re: Le vrai Jésus & les sources cachées du christianisme   Le vrai Jésus & les sources cachées du christianisme I_icon_minitimeVen 30 Déc 2011 - 4:24

Selon l'écrit de Baigent, Leigh et Lincoln dans leur livre "Le Message", le terme "messie", qui signifie "oint" (par l'huile d'olive consacrée, laquelle est d'ailleurs utilisée en Magie cérémonielle qabalistique, gouttant du pouce humecté), désigne le souverain pontife, à la fois prêtre et roi.

Très intéressant article, merci à toi, Derwydd sunny
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MessageSujet: Re: Le vrai Jésus & les sources cachées du christianisme   Le vrai Jésus & les sources cachées du christianisme I_icon_minitime

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